Présentation de l'exposition
Pour la rentrée 2007 l’association M2F Créations organise l’exposition «Camping». Cette exposition multimédia réunira 10 artistes européens issus d’univers différents et dont les travaux varient entre installations interactives, sculptures, graphisme et peintures. Cette exposition abordera avec humour les expériences liées au camping ainsi que l’esthétique qui s’en dégage, allant du pliable au transportable. Elle offrira au public un moment d’échanges à travers des installations variées, proposant des problématiques diverses autour de l’architecture, du design de l’interactivité et de l’art contemporain.
Galerie de l’école d’art d’Aix-en-Provence, rue Emile Tavan du 8 au 22 octobre 2007, vernissage le 10 octobre à partir de 18h.
Galerie de l’école d’art d’Aix-en-Provence, rue Emile Tavan du 8 au 22 octobre 2007, vernissage le 10 octobre à partir de 18h.
Camping-Station
Quentin Destieu, Romain Senatore du collectif Dardex-Mort2faim.
« Camping Station » est une interface minimale techno vidéo/son, réalisée en 2007. C’est une table de camping pliable et transportable, équipée de quatre boutons poussoirs, d’enceintes et d’un écran plat. Les spectateurs sont invités à faire un mix techno en composant avec leurs partenaires devenant ainsi des DJ&VJ virtuoses.
Writer’s Bench
Mr Moo, Colson Wood, Velibor.
Parcourant l’histoire du mouvement du graffiti dans les metros New Yorkais on retrouve des points de rendez vous pour les graffeurs : connus sous le nom de « writer’s corners » ou bien « writer’s benches». Le dernier et le plus connu de ces writer’s bench est celui placé sur la 149 Eme rue, Grand Concourse subway station,dans le Bronx. Ce banc est resté un point de rendez-vous célèbre des années 70 jusqu'à la fin des années 80. Les graffeurs de la ville entière s’y donnaient rendez-vous soit pour aller voir et critiquer les nouvelles pièces éparpillées dans New York ,soit pour faire du « benching » ce qui consiste à regarder et critiquer les pièces sur les métros qui passent. La tradition voulait que l’on y laisse sa signature. En 2007, en Collaboration avec Velibor Barisic, nous réalisons une nouvelle version du writer’s bench. Celui-ci est équipé d’un sound system démesuré. Le banc se déplace de ville en ville dans des lieux incongrus (parcs, galeries, supermarchés, plages, etc.…) afin d’y collecter autant de signatures de graffeurs que possible. Entre nostalgie des années 80 et fêtes décalées le writer’s bench deviendra le livre d’or d’une génération de graffeurs. Le writer’s bench doit être placé dans un lieu de passage.
Parcourant l’histoire du mouvement du graffiti dans les metros New Yorkais on retrouve des points de rendez vous pour les graffeurs : connus sous le nom de « writer’s corners » ou bien « writer’s benches». Le dernier et le plus connu de ces writer’s bench est celui placé sur la 149 Eme rue, Grand Concourse subway station,dans le Bronx. Ce banc est resté un point de rendez-vous célèbre des années 70 jusqu'à la fin des années 80. Les graffeurs de la ville entière s’y donnaient rendez-vous soit pour aller voir et critiquer les nouvelles pièces éparpillées dans New York ,soit pour faire du « benching » ce qui consiste à regarder et critiquer les pièces sur les métros qui passent. La tradition voulait que l’on y laisse sa signature. En 2007, en Collaboration avec Velibor Barisic, nous réalisons une nouvelle version du writer’s bench. Celui-ci est équipé d’un sound system démesuré. Le banc se déplace de ville en ville dans des lieux incongrus (parcs, galeries, supermarchés, plages, etc.…) afin d’y collecter autant de signatures de graffeurs que possible. Entre nostalgie des années 80 et fêtes décalées le writer’s bench deviendra le livre d’or d’une génération de graffeurs. Le writer’s bench doit être placé dans un lieu de passage.
Faits divers
Marie Mouysset, peinture.
Un travail de peinture en aplat, épuré de la sensibilité du geste et de la matière. C’est un simple constat rempli de pudeur.
Des faits issus de la réalité, abordés en apparence innocemment. Puisqu’il s’agit de questionner nos références de jugements et émotionnelles face à une situation donnée. Il ne s’agit pas de submerger le spectateur d’émotions.
Des clins d’oeil à la signalétique, à la photographie dans les cadrages, à la sérigraphie dans le traitement de la peinture et à la bande dessinée dans les couleurs. Une façon de jouer avec les limites de la peinture et de l’enrichir de ces autres médiums.
Depuis l’histoire de l’homme, les sujets abordés sont récurrents: l’être humain n’a pas tant changé dans le fond, c’est la forme qui change.....
http://www.mary07.com
Un travail de peinture en aplat, épuré de la sensibilité du geste et de la matière. C’est un simple constat rempli de pudeur.
Des faits issus de la réalité, abordés en apparence innocemment. Puisqu’il s’agit de questionner nos références de jugements et émotionnelles face à une situation donnée. Il ne s’agit pas de submerger le spectateur d’émotions.
Des clins d’oeil à la signalétique, à la photographie dans les cadrages, à la sérigraphie dans le traitement de la peinture et à la bande dessinée dans les couleurs. Une façon de jouer avec les limites de la peinture et de l’enrichir de ces autres médiums.
Depuis l’histoire de l’homme, les sujets abordés sont récurrents: l’être humain n’a pas tant changé dans le fond, c’est la forme qui change.....
http://www.mary07.com
Vague
Paul Destieu, installation.
Dans la continuité d’une série d’interventions sur le paysage,
Paul Destieu propose un travail entre installation et graphisme,
donnant forme à une vague de papier.
Au travers d’un assemblage de matériaux propres au domaine
de l’édition, cette installation incarne à la fois la menace d’un
raz-de-marée informatif et celle d’une catastrophe écologique,
colorant d’une teinte dramatique le programme des vacanciers.
http://www.pauldestieu.com
Dans la continuité d’une série d’interventions sur le paysage,
Paul Destieu propose un travail entre installation et graphisme,
donnant forme à une vague de papier.
Au travers d’un assemblage de matériaux propres au domaine
de l’édition, cette installation incarne à la fois la menace d’un
raz-de-marée informatif et celle d’une catastrophe écologique,
colorant d’une teinte dramatique le programme des vacanciers.
http://www.pauldestieu.com
XX Transat
Loîs Roussillon du Collectif Dardex Mort2Faim.
Transat est un dispositif sonore interactif qui utilise et joue avec les principes de l'écho.
Composée de chaises brésiliennes et de parasols, cette installation propose un endroit de repos et de délassement dans l'exposition camping, tout en questionnant le caractère artificiel de l'environnement du campeur moderne.
http://hr.loxx.free.fr
solarium
Jérémie Boyard, installation.
Face au capital disponible de la société urbaine, je détourne, j’agrandis ou déforme des éléments issus de la culture globale, tirant parti des formes, incrustant mes observations par des mouvements d’assemblage, je fais allusion au monde en mettant en scène le croisement des genres par des propositions hybrides. Le langage émergeant de chaque proposition joue constamment l’évènement qui en découle.
http://www.wdka.nl/~0781448/index.html
TIPIKKK
Christophe Martin
Pour Christophe Martin tout peut s’inverser, rien n’est sûr. Autant être insaisissable. S’amuser de l’ambiguïté, loi sans équivoque. L’accumulation, le jeu, la liste, l’inventaire, l’absence de choix, la rotation, tout nous conduit à la machine, à la mécanique, au mouvement perpétuel, au système en boucle, au système idiot et autonome. Là où les choses ne sont jamais fi nies. Le souci, nous le savons, vient des choix multiples et incessants. Ça nous éreinte de choisir du matin au soir. C’est la raison pourquoi les dirigeants gardent les grandes décisions et laissent aux employés la foule des détails quotidiens.
Jean-Pierre Ostende : Ne rien vouloir dire mais quelque chose in catalogue Lundi-Jamais, Kunsthaus Hambourg, 1998
http://www.christophe-martin.fr
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